Règles bonne conduite

Les principes d’une bonne conduite !

Conduire une voiture exige le respect des règles simples pour la sécurité du conducteur, des passagers et des autres usagers de la route. Cela demande de grandes capacités de concentration et d’attention, des capacités auditives et visuelles ainsi que des facultés de coordination, d’analyse et de réactivité. Tout cela est valable pour tous les automobilistes dans le but de conduire prudemment et d’éloigner les dangers éventuels et inattendus. toutes ces notions sont traitées sur les différentes plateforme de code de la route en ligne

Les règles d’or d’une bonne conduite

  • Respecter toutes les règles du Code de la route

Quand on est sur la voie publique, il est crucial de respecter les règles du Code de la route. Elles sont enseignées et jugées pendant les examens du permis de conduire. Le Code de la route permet d’instaurer et de respecter les règles de sécurité élémentaires afin d’établir une parfaite coexistence de tous les automobilistes : indiquer le changement de voie avec les clignotants, se garer dans les zones autorisées, ralentir à proximité des passages piétons, vérifier l’angle mort pour les dépassements et respecter les priorités. Sur la route, ces règles sont indiquées par le biais des panneaux de signalisation, des feux de signalisation, des marquages au sol…

  • Mettre la ceinture de sécurité :

Attacher la ceinture de sécurité se fait en quelques secondes, et cela peut vraiment sauver la vie. Cette fameuse ceinture peut résister à une force de 3 tonnes ou plus et garde à l’intérieur de la voiture en cas d’accident pour éviter une violente projection. S’il y a une collision à 50 km/h, le conducteur ou le passager qui n’a pas mis son ceinture de sécurité subira un grand choc, c’est comme s’il a chuté du troisième niveau d’un building. Pour punir le conducteur ou le passager qui ne porte pas une ceinture, la loi prévoit 135 euros d’amende et un retrait de 3 points sur le permis de conduire.

  • La courtoisie au volant

Sur les routes, il y a plusieurs automobilistes. En 2015, les chiffres annoncent plus de 38 500 000 voitures en France. Pour une bonne conduite, il faut être respectueux pour bien vivre ensemble sur la route. Cette coexistence se passe dans les bonnes conditions de sociabilité et de sécurité, et cela, dans le respect mutuel. Donc, il faut être maître de soi-même et maître de sa voiture afin que la vie sur la route soit bien ordonnée.

  • Avoir une meilleure concentration

Quand on conduit une voiture, la concentration est très importante pour assurer une bonne conduite. Il faut être très attentif aux autres et anticiper leurs actions. On doit respecter les distances de sécurité entre chaque voiture et les zones de dépassements, regarder souvent dans le rétroviseur avant chaque dépassement ainsi que toutes les 5 minutes et faire régulièrement des pauses. Si on est un bon conducteur, ce n’est peut-être pas le cas pour la voiture devant ou derrière donc, il faut toujours être prudent. Attention à la conduite sur autoroute qui est assez monotone, cela baisse la concentration. Également, une fois au volant d’une voiture, on doit bannir l’usage d’un téléphone portable. Ces aspects sont traités par le code  Rousseau en ligne

  • Avoir une bonne position de conduite

Avant de rouler, on doit s’installer confortablement dans le siège pour diminuer la fatigue musculaire. On fait en sorte que l’appuie-tête soit à mi-hauteur du crâne. Aussi, on adopte une bonne position de conduite avec les bras un peu pliés et les mains sur la position de 3 heures moins quart. On place les mains en considérant le volant comme une montre.

  • Savoir freiner

Pour une bonne conduite, tout réside dans le bon freinage. Il doit être anticipé pour éloigner les dangers et pour mieux aborder un virage, l’objectif est de raccourcir les distances de freinage. À noter que le freinage détermine la vitesse d’entrée dans un virage, et sur la route, la vitesse doit diminuée de manière progressive afin d’atteindre une vitesse raisonnable et de sécurité. Dans les auto-écoles, le moniteur apprend à tous les apprentis conducteurs le freinage progressif. Cela consiste à freiner en douceur d’abord et à augmenter la pression sur les freins après afin d’avoir un freinage régulier et confortable pour les passagers. Dans le même volet, on respecte également la vitesse.

  • Avoir une voiture en bon état

Pour éviter les accidents, avant de se mettre au volant de la voiture, on pense à bien vérifier son état en général (éclairage, freins, batterie…). On prend aussi le temps de voir la pression ainsi que l’usure des pneus. Cependant, on n’oublie pas de voir l’huile de moteur, le liquide refroidissement… Dépendamment des conditions météorologiques, on prévoit les équipements nécessaires. Dans le même volet, on assure la voiture, et dans la même occasion le conducteur si jamais il y a un accident de route. Il y a l’assurance au tiers, l’assurance tous risques, l’assurance accidents… On peut choisir librement la couverture, c’est plus ou moins cher suivant les modalités.

  • S’arrêter toutes les 2 heures

La Sécurité routière recommande de s’arrêter au moins toutes les 2 heures en faisant une pause d’une dizaine de minutes. Il est à préciser qu’après 2 heures, le temps de réaction normal qui est d’une seconde est redoublé, et c’est à case de la fatigue visuelle. Afin de limiter la baisse de vigilance, le mieux est de se dégourdir les jambes ou de boire un peu d’eau, cela va réveiller, et on est prêt pour attaquer les 2 prochaines heures. Tous les conducteurs ont une baisse de vigilance, et cela peut atteindre 30 minutes d’absence en 4 heures.

  • Reconnaître les signes de fatigue

Si on fait un long trajet sur la route, on apprend à identifier les signes de la fatigue : raideurs dans la nuque, douleurs dans le dos, regard fixe et difficulté de concentration. Mais on doit aussi reconnaître les signes de somnolence : paupières lourdes, bâillements, périodes d’absence, endormissements passagers, envies fréquentes de changer de position… On fait également attention à la baisse de vigilance : difficulté à maintenir la trajectoire, difficulté à maintenir une vitesse constante et inattention à la signalisation ou au trafic.

  • Gare à l’excès de vitesse :

L’excès de vitesse est responsable d’un accident routier mortel sur cinq. En plus de baisser le champ de vision et l’adhérence des pneus, il augmente la distance de freinage et la brutalité des chocs. Les dépassements de vitesse sont sanctionnés par la loi, l’amende peut aller de 68 à 1 500 euros avec le retrait de 1 à 6 points sur le permis. Dès un excès de vitesse de 30 km/h, c’est une suspension de permis et un stage obligatoire. S’il y a une récidive, c’est 3 750 euros d’amende et 3 mois de prison. Donc, on respecte les limitations de vitesse ainsi que le maintien des distances de sécurité. Prépacode aborde tous ces sujets dans le détails

  • Éviter le téléphone tout en conduisant :

La loi interdit formellement l’utilisation du téléphone pendant la conduite, c’est aussi valable pour les oreillettes. Si on ne respecte pas cette règle, c’est une amende forfaitaire de 135 euros et un retrait de 3 points sur le permis de conduire. Donc, avant de se mettre au volant d’une voiture, on oublie le téléphone. Le mieux est que l’interlocuteur laisse un message ou qu’on s’arrête à un endroit sûr pour répondre afin d’éviter les accidents.

  • Halte à l’alcool au volant :

Le premier facteur d’accident mortel en voiture est l’alcool, car il réduit le champ visuel, accroît la sensibilité à l’éblouissement, modifie l’appréciation des distances et des largeurs, baisse les réflexes et entraîne un effet euphorisant. Il suffit de prendre 2 verres pour être en état d’ivresse et pour arriver à un taux d’alcoolémie à plus de 0,5 gramme par litre de sang. Si ce taux est supérieur à 0,2 gramme/l de sang pour les permis probatoires ou entre 0,5 et 0,8 gramme/l de sang, il y a une amende forfaitaire de 135 euros, 6 points de moins sur le permis de conduire, une suspension du permis jusqu’à 3 ans et l’immobilisation de la voiture. Si le taux est supérieur à 0,8 gramme, c’est 2 ans de prison, 4 500 euros d’amende, 6 points en moins sur le permis de conduire, suspension du permis jusqu’à 3 ans ou son annulation, suivi d’un stage de sensibilisation à la Sécurité routière aux frais du conducteur et de l’immobilisation de la voiture.

  • Stop à la drogue :

La conduite sous l’emprise de médicaments et de stupéfiants présente des dangers. Quel que soit la drogue, la perception est altérée et les réflexes en baisse. Certaines drogues accroissent le contrôle de soi et l’assurance, mais d’autres provoquent des comportements irrationnels. La conduite sous l’influence de la drogue est sanctionnée par la loi : un retrait de 6 points sur le permis de conduire, 2 ans de prison et 4 500 euros d’amende. Si cela vient avec un taux d’alcoolémie élevé, c’est 3 ans de prison, 9 000 euros d’amende, 6 points de moins sur le permis de conduire, immobilisation ou confiscation de la voiture et suspension ou annulation de 3 ans du permis de conduire.

Les fiches du permis moto  pass Rousseau moto ainsi que le pack ultime test code de la route aborde égalent le sujet si délicat des règles d’or d’une bonne conduite.

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